Dans l’article ‘’L’art québécois vu de Toronto’’ de Le Devoir, la journaliste Odile Tremblay mentionne que les investissements privés en art de même que le mécénat artistique seraient des pratiques moins répandues chez les Québecois que chez les anglophones. Le Québec possédant maintenant de belles réussites en affaires, les habitudes tendent à changer : en effet, de plus en plus de Québécois se procurent des toiles comme investissement financier. Acheter une œuvre de maîtres comme Jean-Paul Lemieux ou Marc-Aurèle Fortin pour qu’elle prenne de la valeur est une pratique qui prend de l’ampleur au Québec, comme dans le reste du monde.


Vieux Quebec de Marc-Aurèle Fortin

UNE TENDANCE MONDIALE

Alors qu’on comptait plus de 500 000 collections dans les années 40, on retrouve plus de 70 millions d’investisseurs en art à l’échelle mondiale. Selon le magazine The Economist, le marché de l’art génère des rendements encore plus intéressants que la Bourse.

Les ventes aux enchères engendrant des sommes astronomiques attirent souvent l’attention des médias, comme la collection Rockefeller comprenant des œuvres de Picasso, Monnet et Matisse, laquelle s’est envolée pour un total de 650 M$ US au printemps dernier. Ou encore une toile de Banksy vendue pour près de 1,8 million $CAN chez Sotheby’s à Londres, avant de s’autodétruire (en partie).

Mais en fait, vous n’avez pas besoin d’un énorme capital financier pour investir en art. Par exemple, vous pouvez vous procurer une toile de Françoise Nielly, artiste reconnue mondialement, pour 15 000 $, qui amènera un rendement sans doute très intéressant. Il est également possible de se procurer des toiles de la relève, comme Gagnon ou Pratte, qui prendront de la valeur au fil du temps.

L’ART QUÉBÉCOIS

Vous voulez investir dans l’art québécois? Attendez-vous à un rendement annuel moyen de 8 % selon les experts. Toutefois, avoir un bon rendement sur votre investissement demandera du temps : vous devez garder l’œuvre un minimum de 10 ans!

Gardez toutefois en tête qu’on ne peut s’improviser investisseur en art. Il faut « comprendre le marché, étudier l’histoire de l’art, lire, courir galeries, musées et encans, étudier les catalogues, le CV d’un artiste, les lieux où il a exposé, les collections où ses œuvres se retrouvent, notamment chez les musées, s’il est une vedette, etc. » (Journal de Montréal, 2018) Il est donc primordial de parler avec des experts qui sauront vous conseiller, comme les responsables de la Galerie Perreault. Passez-nous voir pour que nous puissions discuter de vos intérêts et surtout, de vos goûts!

Source :

Investir dans l’art peut rapporter gros, Journal de Montréal, 2018

L’art québécois vu de Toronto, Le Devoir, 2018

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